PA M. auteur en herbe évoluant dans un autre monde...

PA M. auteur en herbe évoluant dans un autre monde...

Retrait du recueil #Amiens

Bonsoir, j'ai finalement décidé de faire marche arrière et d'arrêter le recueil sur amiens... tout simplement parce que je n'ai plus d'inspiration ... Désolé pour ceux qui s'attendaient à ce recueil. J'enchainerai prochainement avec un autre mini-recueil!

PA


13/02/2014
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Le bruit des balles des enfers

 

Le bruit des balles des enfers

 

 

Un cri strident retentit, une vie volée,

Un homme, une femme ? Un jeune nourrisson ?

Peut importe, tout y passe, aucune attention,

On abat froidement, sans aucune pitié.

 

Tête haute, dos droit, et le fusil chargé,

Ils sont là, à viser un tout jeune garçon,

Contre le corps de sa mère, sans expression,

Avant de le tirer, sans même le regarder.

 

La terre est trempée des larmes des orphelins,

La terre voit ces massacres ne servant à rien,

Ces traces, elle les gardera longtemps cette terre.

 

Il suffit de la folie de quelque personnes,

Pour qu'on tue nos pères, et qu'on abatte nos mères,

Et que le bruit des balles des enfers résonne.

 

PA

 

 

 

 

 

 

 


07/02/2014
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Rose hantée...

Bonsoir!

Cela fait très, très, très, longtemps que je n'ai pas posté sur le blog. Je tiens à m'excuser pour ce petit passage à vide... Je n'ai pas chaumé pour autant: j'ai commencé l'aventure d'écrire un recueil, pour, peut-être, réussir à l'éditer un jour. Je me suis lancé aussi dans deux autres histoires mais qui sont encore en repos dans mes tiroirs secrets... 

Je fais mon retour avec un poème particulier, plus abstrait que ce que j'ai pu proposer jusque là...

Je continuerai le mini recueil sur Amiens dans les prochains jours...

 

 

 

 

 

Rose hantée

 

 

Un jour, je vis la chose sortir des enfers,

Une rose hantée par le sang de vénus,

Aux pétales formées de cumulonimbus,

Et ses épines comme des cheveux de fer.

 

Ses feuilles affûtées comme des poignards fait de verre,

Ainsi que ses racines pareilles à des puces,

Se fracassèrent contre moi comme un virus,

Pour enterrer mon âme « vingt-mille lieues sous les mers ».

 

Elles arrachèrent mes dents aux parfums de fruits,

Se ruèrent pour trouer mon regard confit,

Elles réduisent mon corps en milliers de diamants.

 

La rose s'installa dans mes rêves du jour,

La rose prit mon cœur, le jeta dans le vent,

La rose me souffla enfin son nom : Amour.

 

PA

 

 

Réagissez en commentaire!

 


06/02/2014
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Une rose en mon âme

 

 

Une rose en mon âme

 

Apparue dans le froid, les tourbillons du vent,

Volant tous mes désirs, tu t'y es installée,

En mon sein tu fleuris, toi sentiment ailé,

Tu squattes mon privé, visiteur de mes rangs.

 

Je les sens tes piquants, souffre de ton mordant,

Tu es dans mes idées, en moi tu es logée,

Par moi tu es nourrie, mon sens tu as tranché,

Le venin des serpents, en mon sang se répand.

 

Avant j'étais gelé, maintenant je m'embrase,

Dévoré par le feu, le hasard sort mes phrases,

Mes ailes sont brûlées, je péris dans les flammes.

 

En mon jardin secret, temple de l’irréel,

Elle s'est mise à germer, elle est née toute frêle,

Et elle a éclaté, une rose en mon âme.

 

 

 


09/01/2014
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Une larme #AMOUR

Bonjour à tous, aujourd'hui je publie un poème du recueil Amour, ce recueil est terminé depuis quelque temps déjà - je le sais - alors ce poème là est un "extra" ou "bonus" si vous préférez. Je pense continuer ainsi quelque mini recueil ainsi en postant un poème dedans de temps à autre.

 Pour ce poème je me glisse à nouveau dans la peau d'un personnage triste d'être rejeté par celle qu'il aime.

Bonne lecture

 

 

Une larme

 

 

 

Ton « non » viens me tuer, m'envoie dans le trépas,

 

Ce moment m'acheva, tu as brisé mon être,

 

Ce sentiment ingrat, puis-je -un jour- m'en remettre ?

 

Plus question d'espérer, peu à peu tu t'en vas.

 

 

 

Tu sais c'est dur d'aimer, mon cœur tu le jetas,

 

Lors de mon premier pas, la folie de mes lettres,

 

En moi elle ria, j'écris sans rien omettre,

 

Pas de complicité, je pleure pour cela.

 

 

 

Je connais Désespoir, dînais avec Tristesse,

 

J'ai vécu dans le noir, senti Colère en liesse,

 

Mais pas ce sentiment, celui nommé Amour.

 

 

 

Je sens ce frôlement, Tâte l'humidité,

 

Mais pas ce sentiment, celui nommé Amour,

 

Je goûte le salé, une larme est tombée.

 

 

 

PA

 


08/01/2014
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