La tour
Coup double aujourd'hui! Je poste deux poèmes!
Celui-ci est le premier du nouveau recueil dont je donnerai le nom à la fin
La tour
Aiguille se dressant au milieu des ténèbres,
Arborant grâce et charme à la vu du peuple,
Écartant les ténèbres d'un mouvement ample,
Elle se moque du temps et de son chant funèbre.
Illuminée, la nuit, elle tranche les ombres,
Immense, regarder ailleurs est un périple,
On y brûle nos ailes comme avec un temple,
On l'a rendue magnifique – belle – célèbre.
Ex plus haut gratte-ciel, elle rit de Gravité,
En un joyau, son constructeur l'a façonnée,
Subjugué, je dois avouer que je le suis.
J'aime m'endormir, les yeux tournés vers ce phare,
Rassurante, dans l'obscur, sa lumière luis,
La Tour Perret apparaît dans les rêves rares.
PA
Mon nouveau recueil se nomme Amiens, les poèmes de celui-ci auront tous un rapport avec la capitale picarde!
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